Téléphonie mobile :

Lors de la réunion publique d'information, Patrick Vincent entouré de 4 élus, a présenté aux 7 présents, l'état d'avancement des travaux de l'antenne de téléphonie mobile. Une antenne (4G) de 48 mètres de haut va permettre de supprimer les zones blanches relevées sur la commune. Seul le Géhard et le fond de Méreille resteront dans l'ombre.

C'est l'opérateur FREE qui a la mission d'installer l'antenne, où les 4 opérateurs auront un rayonnement, grâce à des émetteurs orientés à 360°, sur 4 km à la ronde (Moulin Picard, Vigotte, la Racine, Clairegoutte et une partie de Méreille). Le délai d'installation s'est trouvé un peu retardé suite à un différent, entre la mairie et l'opérateur, sur le tarif de location, qui finalement a été arrêté à 1500 € par an.

Le socle est déjà coulé, le matériel arrivera fin février 2024 et l'antenne sera montée en mars/avril. Pour l'automne 2024,, elle devrait être fonctionnelle.

Le risque des ondes émises a été revu avec un géobiologue, notamment sur les ondes émises dans le sol. Les présents ont posé la question de savoir quelle était le risque des d'interférences avec la ligne du Réservoir d'eau.

La Chaufferie biomasse :

La chaudière de la mairie est vétuste, celle de la cure également, d'où un projet de chaufferie biomasse.

Les présents ont été informés que la chaudière serait placée dans le jardin de la cure avec une réserve à plaquettes enterrée. Un appel d'offre va être lancé fin février, début mars. Si les élus n'envisagent pas de modifier dans l'immédiat, le chauffage de la cure, Jean Marie Manens a fait remarquer, qu'avant de prendre une telle décision, il ne fallait pas négliger le gouffre financier que représente actuellement le générateur à fuel, qui plus est, est très vétuste. Les présents n'ont pas eu l'information sur le prix estimé du kilo watt/h rendu, proposé par le fournisseur de calories.

Michel Didier a dit combien il était important de prévoir suffisamment d'espace autour de la chaufferie pour un éventuel dépannage et a demandé à combien pouvait revenir le coût d'un contrat d'entretien : pas de réponse.

Ce projet de 350 000 €, subventionnable à + ou - 80 %, précisera Agnès Daval, sera présenté en trois tranches (bâtiment, conduite, et chauffage des appartements). Vu l'ampleur du projet, il n'est pas exagéré d'envisager, d'examiner toutes les interrogations qu'il peut soulever.

Mur du cimetière

La souscription auprès de la Fondation du Patrimoine avance chaque jour, il semble cependant que la subvention qui sera versée par la Fondation ainsi que celle de la Région ne soient pas celles escomptées.

Il est bien dommage que si peu de monde ait assisté à cette réunion publique.