Il faisait froid et la pluie tombait ce matin pour l'ouverture de la pêche à 'étang intercommunal du Villerain. Cela n'a pas freiné les trente pêcheurs présents à ce moment culte.

Daniel Lecomte rangera bien vite son matériel de pêche, il n'habite pas loin, il reviendra quand il fera meilleur !

Dès le coup d'envoi à 8 h, il n'a pas fallu longtemps à David Brobecker pour sortir la première truite. Tous n'ont pas été aussi chanceux, l'essentiel était de faire l'ouverture.

Une belle prise :

Les thermos de café ont été appréciées :

Le père et le fils de Plombières avaient choisi un équipement pour paré aux conditions climatiques particulièrement hivernales :

Comme il semble que l'étang de la Demoiselle restera fermé à la pêche toute cette saison, si les fidèles de ce lieu souhaitent venir taquiner le bouchon au Villerain, qu'ils se rapprochent de tous les points de vente énumérés (article de ce matin) afin de ne venir qu'avec le titre de pêche en poche afin d'être, en cas de contrôle, en mesure de le présenter aux gardes de pêche assermentés.

Plus de 100 kilos de poissons avaient été remis à l'étang le jeudi 30 Mars.

Rappelons que les carpes et tanches se font en no kill.

Pendant des milliers d’années, la pêche n’avait comme seul but d’être une source de nourriture pour les humains. Depuis maintenant une dizaine d’années, on entend de plus en plus parler de « No Kill », amenant la pêche dans une nouvelle dimension : celle du sport !

La pratique saine du no kill

Cette pratique a donc pour but de capturer un poisson puis de le relâcher dans les meilleures conditions pour qu’il puisse continuer sa vie, se reproduire et pourquoi-pas livrer de nouveaux combats. Le No Kill, en plus d’être une action raisonnée, est également un état d’esprit : il ne suffit pas de dire que l’on pratique le No Kill à tout va pour surfer sur la vague, sans en appliquer quelques règles simples qui donneront réellement toute la dimension a cette pratique.