Ne nous racontons pas de fables (de La Fontaine) !

Après Notre-Dame de Paris (Victor Hugo), un virus s’abat maintenant sur notre monde moderne et sur la Condition Humaine (André Malraux) ; la règle de mise est le CONFINEMENT, tant qu’il est possible, loin des Fleurs du Mal (Charles Baudelaire).

Certains s’arrogent le rôle de Misérables (Victor Hugo) et craignent de s’ennuyer à domicile, mais peut-être est-il temps de LIRE, LIRE et LIRE encore, dans un Huis clos (Jean-Paul Sartre) bien au chaud, pour éviter Une Saison en Enfer (Arthur Rimbaud), avec à ses côtés, épouse ou Bel-Ami (Guy de Maupassant), fille ou bien fiston démuni sans école, un Petit Prince (Antoine de Saint-Exupéry) ou sa sœur.

Ne laissez entrer aucun Étranger (Albert Camus), aucun Faux Monnayeur (André Gide), de peur qu’ils aient Les Mains sales (Jean-Paul Sartre).

N’entretenez aucune Liaison Dangereuse (Choderlos de Lacos), même si c’est surtout du baiser qu’il faut se prémunir.

On ne badine pas avec l’Amour (Alfred de Musset) !

Bien à l’abri chez soi, laissons passer le danger, s’écouler l’Écume des jours (Boris Vian), gardons La Peste (Albert Camus) à distance !

A la télé, nous avons observé Rome et ses rues vides, nous allons à coup sûr découvrir le Spleen de Paris (Charles Baudelaire).

Nous avons vu la bourse connaître La Chute (Albert Camus). Ne soyons pas Candide mais restons Optimiste (Voltaire), on en a sacrément besoin.

Je vous garantis ensuite La Promesse de l’Aube (Romain Gary), et prenons un peu de repos malgré tout, parce qu’après, Autant en emporte le Vent (Margaret Mitchell), les entreprises seront A la Recherche du Temps Perdu (Marcel Proust), et il faudra mettre un bon coup de collier !

(Merci Laurence)