L'été dernier, on se lamentait de voir nos forêts, essentiellement d'épicéas, jaunir à vue d'oeil.

Aujourd'hui, on peut dire que les scolytes étaient un peu à l'image du coronavirus. Ils ont agit partout, sans crier gare, accumulant les hectares... En attendant les dégâts sont là.

A présent, on voit les plantations disparaître après le passage de la tronçonneuse ou de abatteuse.

Si l'industrie du bois subit de plein fouet ce fléau, (producteur, exploitants), cela a aussi quelque chose de bon : après des plantations à l'excès, parfois sans autorisation, les espaces s'ouvrent de nouveau, redonnant à nos yeux une vision des années 60....

Cependant, cela n'en demeure pas moins un grand fléau.

Lors d'une marche à la brune nuit, j'avais remarqué que, souvent, des jeunes plants n'attendaient que de l'air pour grandir, ici c'est un mélange de sapin et d'épicéa.

Auront-ils une chance ?