L’Association Animations et Loisirs du Girmont ne peut que s’estimer heureuse du succès rencontré lors de l’organisation des 23èmes feux d’artifice, à sa fête de l’été.

Toutes les activités organisées au cours de l’année, (marche populaire, concours de cartes, St Jean, buvette du marché, stand des T-Shirts) lui permettent d’autofinancer ce budget feux d’artifice, et pas de n’importe quel ordre. Tout a commencé par une belle soirée d’été, avec un temps serein, une température de saison, et la fumée du four à pizzas de Serge attirant la foule dés 20 heures.

Très vite, la demande a dépassé les pizzaïolos d’un soir, mais peu importe, chacun avec philosophie, a pris le temps d’attendre son tour.

Puis à 21 heures Jean Pierre Barrois est venu, avec ses danseurs, faire une démonstration de danses Country, en y associant le public, qui n’a pas eu à rougir de sa prestation, tant il était bien dans le coup, à travers Macaréna, ou autre danses connue.

Sono 2000 a pris la relève pour entrainer les danseurs jusque 3 heures du matin.

A 23 heures précises, alors que les parkings étaient pleins à craquer,

le préau bondé et le pré noir de monde, les premières détonations se sont fait entendre orientant tout à coup les milliers d’yeux vers le ciel et la forêt girmontoise.

Le thème de ces feux était le Western, et la chorégraphie liée à ce genre particulier, était elle aussi bien spécifique.

Détonations, cavalcades, passage de la caravane, lancer de lassos, autant de moments fort du monde western traduits à travers une pyrotechnie faite de tableaux nouveaux, et des couleurs essentiellement venues de Chine, d’Italie, ou d’Espagne. Peut être, serait’ il permis d’y mettre un petit bémol dans la qualité su son, en fonction de l’endroit ou l’on se trouvait.

Peu importe durant 25 minutes le public a été grisé par la nouvelle conception de ces feux d’artifice tirés par les hommes de Jacques Prévôt, aidés par le local Yvan Daval.

Même si les vivres ont un peu fait défaut, notamment sous le petit barnum, (on sait que les organisateurs ne sont pas des professionnels, que chaque année les données varient, et que le déroulement d’une soirée est essentiellement lié aux degrés de la météo), la promptitude à répondre à la demande sous le grand préau, aussi bien au bar qu’à la friterie, et l’accès pour tous dans le pré, organisés par les hommes des parkings (merci aux propriétaires terriens), ont fait de cette soirée exceptionnelle, pour dire du jamais vu au village, une grisante nuit d’été, qui sera longtemps évoquée dans les chaumières.

Bravo à tous ces bénévoles qui donnent le maximum d’eux même à tous les postes qu’ils ont en charge, jusqu’au bout de la nuit.